Pin Sylvestre - Pine

Famille : Découragement et désespoir

Fleur : Amour-propre, Estime, Acceptation de soi, Conscience de sa valeur personnelle, Respect de soi

Ce que dit le Dr Bach :

"Pour ceux qui se critiquent eux-mêmes. Alors même qu'ils réussissent, ils pensent qu'ils auraient pu faire mieux et ne sont jamais contents d'eux ni des résultats obtenus. Ils sont durs au travail et souffrent beaucoup des fautes qu'ils s'attribuent.

Il peut arriver que l'erreur ait été commise par un autre, mais ils n'en revendiquent pas moins la responsabilité."

• On souffre d'un trop grand sens critique vis-à-vis de soi-même. On se met une grande pression.
• On pense qu'on ne mérite pas d'être aimé(e) et on se refuse intérieurement le droit à l'existence : on s'excuse en quelque sorte d'être né(e).
• On se sent accablé(e) par son sens du devoir et ses obligations.
• On est souvent dans le registre de la culpabilité. Tout ce qui se passe est de notre faute.
• On se sent responsable des erreurs des autres.
• On se sent obligé de se justifier devant autrui.
• On s'excuse beaucoup, en toute circonstance.
• On s'attend inconsciemment à recevoir des reproches.
• On est rongés par les remords.
• On considère qu'on ne vaut pas grand chose.
• On a mauvaise conscience quand on va mieux que les autres.
• On ne savoure pas ses réussites. En cas de succès, on se reproche de ne pas avoir fait mieux.
• Lorsqu'on a "mérité" quelque chose, on se croit obligé de se justifier auprès des autres.
• On se sent redevable envers les autres.
• On souffre d'un complexe d'infériorité.
• On est stressé, anxieux et on manque d'indulgence pour soi-même.
• On se trouve insignifiant, inférieur ; on se rabaisse constamment.
• On travaille beaucoup pour bien faire et on se met une très forte pression.
• On s'excuse auprès des autres si on est malade, déprimé ou épuisé.
• On se sent coupable si on doit avoir une explication avec quelqu'un.
• On s'accorde peu de choses.
• On abandonne la partie quand on souhaite quelque chose et que d'autres personnes sont en "concurrence".
• On se dévalorise si on gagne moins d'argent que les autres.
• Même quand nos talents sont reconnus, on reste en retrait car les compliments nous mettent mal-à-l'aise.
• On n'arrive pas à savourer sa vie.
• On est pas ou peu satisfait de sa vie. On pense qu'on aurait pu faire mieux.
• On se reproche de vivre dans une société qui détruit l'environnement et qui exploite les êtres humains.
• On a l'impression qu'on mettra des années à s'en sortir.
• On ne peut se pardonner certains faits ; on s'en veut pendant des années.
• On peut aller jusqu'à s'attribuer la faute des grands incidents, des catastrophes naturelles, des évènements fortement négatifs.
• On adopte un comportement infantile, craintif.
• Si on ne peut pas obtenir l'approbation de son entourage, on se replie sur soi, et on peut aller jusqu'à l'auto-punition.
• Besoin presque masochiste de se sacrifier.
• Narcissisme négatif.
• Sentiments de culpabilité si aigus que l'on ne peut les affronter.
• D'un point de vue physique, cela peut se manifester par : des problèmes de transit intestinal, des torticolis.

• On devient un bon compagnon pour soi-même.
• Apporte équilibre et harmonie intérieurs.
• Favorise l'amour-propre, l'estime et le respect de soi.
• On accepte de voir notre propre valeur.
• On sait qu'on mérite d'être aimé(e), comme les autres.
• On s'accepte tel(le) qu'on est, avec ses faiblesses.
• On trouve sa place dans le monde sans plus ressentir le besoin de s'excuser ou de se justifier.
• On apprend à avouer les fautes commises sans se condamner ou se déprécier.
• On est conscient qu'on a le droit de vivre, au même titre que tous les êtres humains.
• On accepte les cadeaux que l'on reçoit.
• On est capable de se féliciter.
• On sait mieux de quoi on est responsable, et ce qui relève de la responsabilité des autres.
• Libère du besoin de tout contrôler.

• J'ai le droit.
• Je me pardonne.
• Je suis libéré(e).

Élixir indiqué pour les animaux manquant de courage, déprimés, et qui réagissent avec une grande sensibilité aux gronderies.

Chez de tels animaux, la peur et l'humiliation se lisent à leur allure physique, mais aussi à leur forte tendance à la soumission. On a le sentiment qu'ils s'attendent à tout instant d'être grondés ou punis. On dirait qu'ils ont constamment quelque chose à se reprocher, se blottissent dans des coins, comme s'ils venaient de commettre une bêtise. Quand on les gronde, ils peuvent faire preuve d'une réaction exagérée (hurler à la mort, miauler, se courber de crainte qu'on les frappe). Un rien les fait tressaillir ou provoque leur retrait : un regard courroucé, un geste vif par exemple.

Il s'agit généralement d'animaux qui courbent l'échine face à leurs congénères.

* Mechtild Scheffer